A travers huit spectacles choréographiques, Yerbabuena donne au show sa vision personnelle de la Guerre Civile en relation avec ses plus profonds sentiments,et le surpassement de la perte et l'absence des personnes plus chères en confrontation |
Quand j'étais...", la nouvelle oeuvre de Eva Yerbabuena qui ferme le concours dédiée à la danse "flamenca" et espagnole. XV Festival de Jerez
"Jusqu'où nous pouvons imaginer quelque chose que nous n'avons pas vécu". Cette profonde réflexion inagure le nouveau travail de la danseuse de Granade, Eva Yerbabuena, qui rentre avec sa compagnie après avoir étrenné, il y a deux ans Dans cet spectacle, la mémoire et les souvenirs, réels ou fictifs, sont encore le "leit motiv"d'une oeuvre dans laquelle le simbolisme d'un tour de potier cadre une scène, dans laquelle Yerbabuena émerge prête à modeler ces coïncidences endormies à partir de sa célébrité de "femme mélancolique". Le dernièr du jour de la foire de Xérès de danse flamenca et espagnole, se complète avec la session, à partir de midi, de l'atelier "Comprends le flamenco. Apprend à distinguer les "palos", donné par Faustino Núñez au Centre Andalou de Flamenco (CAF); et avec la nouvelle exposition, à partir de 19,00 heures dans la salle Paúl, de l'atelier de choréographie du "maestro"valencien Javier Latorre. Dans "Quand j'étais...", Eva Yerbabuena récupére cet air mélancolique et nostalgique qui la |