¡El blog de Flamencoexport ha vuelto para quedarse! Y vuelve para contar las mejores tendencias de la moda de accesorios flamencos de 2016. Los complementos son, después de un bonito vestido, el segundo componente más importante en el conjunto de cualquier flamenca para lucir elegantes en la Feria o en el Rocío. Pues, ¿de qué sirve un buen traje de gitana si los complementos no están a la altura?
Aquí te damos las claves y unos consejos para escoger tus accesorios a juego con tu personalidad y tu traje, ya que junto con los pendientes, los mantoncillos, la peineta y las pulseras, hay un complemento protagonista: la flor de flamenca.
Hoy en el blog de Flamencoexport te damos algunos ejemplos y unos consejos para escoger uno de los más importantes accesorios a juego con tu personalidad y tu traje: los pendientes.
Les terrains destinés à l’emplacement de la Feria d’Avril se trouvent entre Los Remedios et Tablada et sont divisés en trois parties : El Real de la Feria, La rue del Infierno et le parking. L’enceinte (un espace où il est interdit d’afficher n’importe quel type de publicité) a des règles de fonctionnement assez strictes afin de conserver le charme de la petite ville qui s’élève à Los Remedios. Le Real de la Feria prend son nom des anciens « reales » (pièces de 25 centimes de peseta) qui prenaient les cochers pour transporter les gens à la Feria et anciennement c’était le nom de toute la zone de la Feria. Après, celui-ci a été le nom de la promenade principale où les chevaux passent et où on peut trouver les casetas. Le Real de la Feria a une surface de 275.000 m2 divisés en 25 pâtés de maisons et 15 rues. Ses rues pavées et ses trottoirs couverts d’albero sont décorés par milliers de lanternes où sont cachées les 218.435 d’ampoules écologiques qui éclaireront les soirées de feria. Elles sont ainsi distribuées : Les rues du Real sont décorées par des hauts panneaux composés de quatre guirlandes avec des lampes de 15 w. tous les 25 cm. et par des motifs baroques traditionnels éclairés. Tout est soutenu par des poteaux en bois encastrés sur le pavé de terre qui sont peints en blanc. Ces poteaux ont un socle en couleur indigo et sont décorés avec des guirlandes végétales. Les promenades piétonnières son couvertes de panneaux bas de guirlandes avec des lampes 15 w. tous les 50 cm qui sont en même temps couvertes par des lanternes blanches et oranges. Le nombre de guirlandes des longues rues est de 7 et 5 pour les petites rues. Pendant la journée l’événement le plus remarquable est la promenade des chevaux et des carrosses et pendant la soirée tout est consacré à profiter de la bonne ambiance jusqu’au lendemain. Les places de parking sont situeés aux alentours de l’enceinte. Le parking qui est placé dans le Charco de la Pava a 16.700 places de parking, toutes payantes, et a aussi une liaison avec le Real de la Feria avec des navettes complètement gratuites.
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Una vez más regresa uno de nuestros salones más internacionales, vuelve Simof, Salón Internacional de la Moda Flamenca. XIX Edición.
El fin de semana dará paso a un programa muy completo y variado. El viernes abre Ana Morón con “Pirouette” que comparte pasarela con Arte y Compás con “Amanecer en primavera”; Molina Moda Flamenca, presentará “Molina 2013”, y por último Aurora Gaviño y Mary Paz presentará “¡Más Gaviño que nunca!”. |
Mi única llave. Voici le titre du nouvel album de José Mercé produit par Javier Limón et publié le 16 octobre de 2012. « C’est un disque flamenco mais du XXIème siècle. C’est un disque sérieux, sobre, profonde » dit le chanteur né à Jerez de la Frontera en 1955 dans le quartier de Santiago, un quartier très « flamenco ». Le chanteur se montre euphorique avec son nouvel album. Mi única llave est un disque impeccable, très flamenco, de grande richesse musicale et qui compte avec des guitaristes de grand niveau qui marquent le caractère de l’album. Ces guitaristes accompagnent José Mercé qui chante comme il ne l’avait jamais fait avant. Voici un disque élaboré avec très peu d’éléments qui couvrent le spectre sonore grâce au merveilleux travail de Javier Limón qui nourrit l’album seulement avec des guitares, des percussions et des « palmas ». De plus, les collaborations d’Enric Truffaz (trompette), Alain Mallet (piano) et Layth Al-Rubaye (violon) donnent au disque ce lien avec les différentes musiques évoquées par Mercé.
Mi única llave a beaucoup de surprises qui rend plus riche l’album. « Les meilleures guitares du pays y sont : Diego del Morao, Pepe Habichuela, Tomatito et Manuel Parrilla » dit José Mercé. Javier Limón ajoute : « Alejandro Sanz a créé une bulería qui rend hommage à Moraíto Chico [guitariste de José Mercé dédécé en 2011] ; le martinete qui ouvre le disque a été enregistré à Boston avec un chœur de filles de 15 pays, la version de la zambra Salvaora de Manolo Caracol a été enregistrée dans une église maçonnique du XIXème siècleavec le pianiste de jazz Alain Mallet aussi à Boston ; le trompettiste Français Eric Truffaz joue avec Pepe Habichuela Elegía a Ramón Sijé, poème de Miguel Hernández pour évoquer la création d’Enrique Morente ; il y a des fandangos de Huelva avec la collaboration de Layth Al-Rubaye, un superbe violoniste Jordanien de 19 ans… Voici le disque le plus gitan et contemporain de José ».
Presque toutes les chansons ont été créées par Javier Limon et José Mercé. Mi única llave démarre avec « La llave del amor » comme premier single et propose des vrais tangos flamencos, énergiques, rythmiques, profonds. « Ça accroche » dit José Mercé qui fait l’éloge du travail de Javier Limón : « Nous nous sommes rencontrés il y a longtemps et nous avons toujours voulu faire un album ensemble. Maintenant ce moment est arrivé. Son travail est merveilleux, il te fait sentir très à l’aise. Je pense que nous avons fait un disque très important, plus équilibré que les travaux précédents ». |