"Flamenco, Flamenco" de Carlos SauraLe 19 novembre aura lieu la première de Carlos Sauta, "Flamenco, Flamenco", un voyage durant lequel les maîtres Paco de Lucía, Manolo Sanlucar ou José Merce accompagnent à des nouveaux talents comme Estrella Morente, Sara BAras, Miguel Poveda, Israel Galvan, Eva Yerbabuena, Farruquito ou Niña Pastori, une sorte de présentation ou d'alternative qui maintient la flamme du futur."Flamenco, Flamenco" reflète parfaitement la particulière et personnelle forme de réaliser du cinéma musical de Carlos Saura et a permis aux spectateurs du monde entier de profiter de notre cinéma et de notre art, comme on a indiqué dans le communiqué de presse. |
"La Grande Fête des Sévillanes" est son premier album avec Universal Music Spain/ Vale Music.Les sévillanes les plus populaires du groupe qui a révolutionné le genre, maintenant interprétées avec les meilleursartistes espagnols du moment.Ce projet a été le pari le plus important de notre carrière discographique, car 35 ans dans la musique permettent beaucoup de choses... Mais à cette hauteur, de notre carrière on n'espère pas compter sur le soutien de tous lescollègues de la profession... Le disque est à point, comme disent les Cantores de Hípalis. |
Le réalisateur aragonais présentera la première le 11 novembre à Séville dans le cadre du festival du cinémaEuropéén, et lors d'un gala spécial, son dernier travail "Flamenco, Flamenco". Avec ce film, tournée à Séville,Saura prétend "montrer l'évolution des chants, danses et musiques de ce bel art". Le Festival de Séville se célèbreradu 5 au 13 novembre. "Flamenco, Flamenco" peut se considérer comme l'exposant de la forme particulière et personnellede réaliser un cinéma musical développé par Carlos Saura et qui a permis aux spectateurs du monde entier de profiter de notre cinéma et de notre art.le film ne se base pas sur une histoire de fiction car selon Saura "introduire quelque chose de plus que la beautéde la musique et de la danse devant la caméra est une trahison de la pureté de cet art". Il y a deux éléments narratifs,un voyage vital et la lumière, qui servent de support aux numeros musicaux et qui permettent unecommunication "subliminale" avec le specateur. |
pendant lesquels la danse contemporaine sera la grande protagoniste. Il s'emparera de salles de théâtre, de rueset places de la ville et d'autres espaces "insolites". L'usine d'artillerie, déclarée Bien d'intérêt culturel, est, sans doute, l'un de ces "espaces insolites"; pour la première fois tout au long de sa grande histoire, elle se transformera en un espace de représentation. Israel Galvan "solo", sans musique et aucun type d'artifice, dans la magnitude des salles de l'Usine d'artillerie, est chargé d'ouvrir cette nouvelle édition du Mois de la Danse, qui, cette année est dédiée à la danse et à sa realtion avec la technologie. "Solo" de Israel Galvan, dans lequel le danseur se sert uniquement de son corps et des silences pour construire son discours, qui est, précisément le point de départ de cette réflexion sur la capacité exceptionelle de la danse contemporaine pour incorporer les technologies. Un parcours qui nous mène depuis "Solo" jusqu'à des propositions qui servent de capteurs, ordinateurs, divers softwares et interactuaction on-line pour ses procesus créatifs; machines qui se mettent au service de la création et la danse même qui met au service d'une machine pour créer des pièces en direct, dans un jeu d'inter-relation er improvisation avec de multiples possibilités. |