Le flamenco est un art qui s’est internationalisé depuis l’Andalousie, mais cela n’a pas toujours été ainsi. Comme il s’agit d’un compas populaire, il a parcouru les rues de toutes son essence et les différents palos ont une histoire relative aux gitans, joyeuse, dramatique, au-delà des paroles. C’est le cas de Farruca. Il s’agit de l’un des palos les plus récents du flamenco et on trouve son origine en Galice et en Asturias. Farruca est un mot d’origine galicienne qui signifie “chant des galiciens”. Cette forme métissée a débuté son chemin en traversant l’Espagne de long en large pour prendre une identité propre, flamenca. Son origine est liée au folklore du Nord de l’Espagne. Les mouvements démographiques du milieu du XIXè siècle des jeunes gens et des travailleurs saisonniers dans les champú, ont fait qu’ils ont rapporté avec eux ce chant. Ensuite, le temps, l’adaptation et le métissage avec des musiciens andalous a donné le compass flamenco. Cette nouvelle version, interprétée avec l’air de la Solea, a été celle qui peu à peu a été rendue populaire dans la première partie du XXè siècle. Cependant, de nos jours, la farruca en tant que chant ne s’écoute pas très souvent. Ce chant a vécu ses moments de gloire grace à Manuel Torre (1878-1933) et postérieurement, grace à l’interprétation de la voix féminine dans l’oeuvre “Alma de Dios”. |
Bien que maintenant ils sont devenus un classique dans cet art, dans les années 70, quand le couple a commencé son chemin professionnel, ils ont été les préscurseurs de ce qui est connu sous le nom de “nouveau flamenco”. Son toque et son chant ont commencé à s’étendre au-delà du cercle des amateurs strictement flamenco embrasse un public à chaque fois plus hétérogène. Ils ont entamé le sentier du flamenco fusion qui après, ont donné lieu à plusieurs grands succès. Les airs hyppies qui sont arrivés des Etats-Unis et ont parcouru l’Europe ont été l’une des plus grandes influences pour le couple, ayant desm consequences sur la musique et les paroles. Les paroles ont laissé de coté l’amertume et la peine qui caractérisent de nombreux palos flamenco, dédié à la paix, fleurs et amour. Tout cela de main du poète Juan Manuel Flores. Lole (Dolores Montoya Rodríguez) vient de la famille de racine et de tradition flamenca, fille de La Negra, a commencé la danse et s’est dédiée au chant avec Manuel. De son coté, Manuel Molina a grande dans le monde du flamenco et à douze ans, il faisait déjà partie du trio “los gitanillos del Tradon” avec Chiquetete et El Rubio. |
Il y a des initiatives qui pour leur envergure et ambition ont une naissance plus qu’ardue. La bureaucracie et la complexité de son développement font que chaque nouveau pas est un vrai évènement , aussi petit sois il, jusqu’à ce que finalement, il aboutisse. C’est le cas du Centre National de Flamenco de Jerez ou la Ville du Flamenco. Un projet emblématique qui dotera la ville et à l’Andalousie en general, d’un centre de projection et divulgation du flamenco comme la plus haute expression de la culture andalouse. Le Centre National de Flamenco sera joint au centre de Jerez, revitalisant la vieille ville. Plusieurs annés sont passées depuis que cette initiative ait été présentée, et maintenant, finalement les premiers fruits se font voir. En quelques mois, le premier des bâtiments du complexe culturel sera complètement rénové et prêt à accueuillir le public. Il s’agit de l’Usine de l’huile qui a deux étages. Le rez- de- chaussée sera le centre de réception des visiteurs et il y aura des magasins de souvenirs, et tout ce qui concerne la promotion du complexe. Le premier étage est dédié aux bureaux de gestion et d'administration. Le projet global sera en principe terminé en 2013, et coincidera avec la célébration de l’Année Internationale du Flamenco. L’Usine de l’huile se transformera aussi en point de référence pour les visiteurs de Jerez amants du flamenco. Dans ce complexe, il y aura aussi la maquette du Centre National de Flamenco pour que toutes les personnes intéressées puissent connaitre la future “ville” dédiée à cet art. |
El bailaor Joaquín Cortés presentará en Barcelona el miércoles y hasta el 25 de este mes en el Teatre Coliseum su séptimo y último espectáculo, 'Calé' --gitano en su propia lengua--, que hace un repaso a su carrera con la selección de seis obras que él mismo ha dirigido y coreografiado.
Este nuevo proyecto recopila las obras que más han marcado al cantante a lo largo de sus 20 años de carrera y le han hecho dar la vuelta al mundo, con unas obras que plasman su esencia, sus influencias y sus vivencias.
'Calé' se iniciará con un martinete y mostrará obras como 'Live', 'De amor y odio', 'Calé', 'Mi soledad', 'Pasión gitana' y 'Soul', cuyo elenco estará formado por 16 músicos, ocho bailarinas y un total de 35 personas que patrocinarán la obra por todo el mundo.
Le danseur Joaquin Cortes présente à Barcelona le mercredi jusqu’au 25 de ce mois au théâtre Coliseum son septième et dernier spectacle, “Calé” – gitan dans sa propre langue- qui résume sa carrière avec une séléction de six oeuvres que lui-même a dirigé et chorégraphié. Ce nouveau projet est une compilation des oeuvres qui ont le plus marqué le chanteur tout au long de ses 20 ans de carrière et qui lui ont permis de faire le tour du monde, avec des oeuvres qui expriment son essence, ses influences et ses expériences. “Calé” commence avec un martinete et montre des oeuvres comme 'Live', 'De amor y odio', 'Calé', 'Mi soledad', 'Pasión gitana' et 'Soul', dont la troupe sera formée par 16 musiciens, 8 danseurs et un total de 35 personnes qui sponsorisent l’oeuvre. |